vendredi 14 février 2014

Une identité bien à nous!

Une identité bien à nous - au Québec - pour le choix de nos vins et surtout, de nos critiques.

Jean Aubry (du journal Le Devoir) était dépassé par le fait que nous avions encore affaire aux critiques tel que Parker. Son système de notation a fait l'envie, la richesse ou encore l'ire, tout dépendant de la personne concernée, des gens du milieu viticole. Pourtant, M.Parker a marqué une génération et encore plus!

Pourquoi n'avons nous pas ce type de critique au Québec et surtout pourquoi la SAQ continue de faire la demande de ceux-ci qui même si nous avons les professionnels qui pourraient remplir ce mandat?

J'ai souvenir des anciennes publications Le Cellier (avant que ça ne devienne un outil plus promotionnel qu'instructif... misère!), ou plusieurs de nos auteurs et professionnels du vin se retrouvaient pour faire des dégustations à l'aveugle bien orchestrées dans les dernières pages de chaque parution. 

Alors, la question que je me pose est la suivante : Pourquoi la SAQ n'offrirait pas une table ronde permettant une rencontre de professionnels sur une dégustation de nouveaux arrivages? En gros, ceux-ci se rencontreraient avant la parution des nouveaux arrivages et feraient paraître les vins qui obtiennent les meilleures notes sur la page de la SAQ.

Après tout, chaque pays possède leurs ouvrages de référence ou encore des critiques qui correspondent au besoin, palais, goût des gens de ladite région... spécialement et uniquement pour eux!

Tout ce qui manque c'est que la SAQ veuille bien donner aux québécois(e)s la chance de se retrouver sur tous les vins qui sont disponibles en succursale et surtout celle que nous puissions enfin avoir une réelle identité bien à nous!

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